Matt Wanderscheid
 
 

Revue de presse

* Dire que ce premier album est réussi est un euphémisme, […] dans les productions européennes récentes, ce disque est à mettre dans le peloton de tête. *
ABS Magazine

* Musicalement et vocalement impeccable, ce disque est une belle découverte. *
Soul Bag

* Un régal de Folk, de Blues, de Rock, de R&B et de Country. *
Blues & Co

* Un album absolument merveilleux. *
Stormy Monday

PRESSE ÉCRITE

ABS MAGAZINE #68

http://www.absmag.fr/chroniques-3/

Dire que ce premier album de Matt Wanderscheid est réussi est un euphémisme. Chanteur, guitariste, auteur-compositeur, ce Luxembourgeois d’origine a d’abord passé une dizaine d’années comme sideman sur la scène blues internationale avant de s’installer en France en 2011.
Cet opus de onze compositions est plein de qualités. Tout d’abord l’écriture : poétique, intelligente, parfois drôle. Les compositions laissent entrevoir une culture et des goûts éclectiques parmi lesquels le Blues se taille la part du lion, mais où le Rock’n’roll et des parfums de Country sont présents. La voix est belle, le jeu de guitare sobre.
Et comme tout bon musicien attire forcément de bons musiciens, on retrouve autour de lui dans cette session des artistes aguerris : Anthony Stelmaszack (remarquable de bout en bout, que ce soit à la guitare et à la mandoline), Julien Bouyssou (Hammond B3), Damien Daigneau (piano), Grégoire Oboldouieff (basse) et Bastien Cabezon (batterie, chant). De plus, la spontanéité de cet enregistrement réalisé en prise directe et sans « retouche », gagne encore en sincérité. Un excellent album de bout en bout.
J’avoue avoir hâte de les découvrir sur scène. J’espère aussi que cette modeste chronique éveillera la curiosité des directeurs de festivals qui ne connaissent pas encore ce groupe car, dans les productions européennes récentes, ce disque est à mettre dans le peloton de tête.
Marcel Bénédit

SOUL BAG #237

Note : ★ ★ ★ ★ ☆

On se souvient avec plaisir de Big Matth en bluesman à tendance country soul en 2016. Le voici aujourd’hui sous le nom de Matt Wanderscheid en prolongation du disque précédent, encore plus country soul et encore plus personnel.
Entouré peu ou prou des mêmes musiciens, Bastien Cabezon à la batterie et aux choeurs, Lonj à la basse, Anthony Stelmaszack à la guitare et à la mandoline, Damien Daigneau au piano et à la mandoline, Julien Bouyssou à l’orgue et aux percussions, Matt chante avec sensibilité un répertoire original à l’ossature country soul donc, sur laquelle viennent se greffer « Jezebel » à l’ambiance swamp pop, « All the leaves have fallen down », « Good love was on the way » au registre country folk, « Love is like a fish in the river » et « Crazy papa », deux country rock avec des touches à la Rolling Stones ou boogie, ou « Should be at home tonight » avec sa touche latino.
En ouverture, « Look at me, girl » est une autre réussite avec son rythme enlevé, comme si un chanteur country s’était invité chez Motown. Musicalement et vocalement impeccable, ce disque est une belle découverte.
Christophe Mourot

ZICAZIC

http://www.zicazic.com/zicazine/ind...

Chanteur et guitariste plein de talent, Matt Wanderscheid est également un brillant songwriter qui a eu la bonne idée de lancer son propre projet en 2018, une nouvelle aventure musicale dans laquelle il mettrait en avant ce qu’il aime le plus au monde, le blues, le rock, l’Americana, le folk et le rhythm’n’blues...
Disciple de Bob Dylan, de Tony Joe White, de BB King ou encore de Big Bill Broonzy et de Ry Cooder, c’est en rassemblant toutes ses influences que l’artiste a commencé à penser à de nouveaux morceaux et c’est en les enregistrant avec une dream team dans laquelle on remarque Anthony Stelmaszack aux guitares, Damien Daigneau au piano, Julien Bouyssou à l’orgue Hammond, Lonj à la basse et Bastien Cabezon à la batterie qu’il en est arrivé à nous proposer cet effort éponyme qu’il défend aujourd’hui à la ville avec la même équipe, Lonj ayant juste cédé sa place à Grégoire Oboldouieff pour les concerts.
Bien décidé à mettre l’accent sur sa très grande diversité et sur sa capacité à jouer à la perfection toutes les musiques américaines, Matt Wanderscheid n’a pas hésité un seul instant à donner une énorme place à des ivoires qui se complètent tandis que les guitares s’efforcent de se répondre, voire parfois même de se mettre à parler à l’unisson. Sa voix est en outre un délice, excellente dans les passages les plus blues, irrésistible quand elle part du côté du folk ou encore du rock, et c’est donc en parfaite harmonie que l’on suit Matt dans un album de toute beauté sur lequel on entrevoit les visages de ses idoles, tantôt Dylan, tantôt Hank Williams, tantôt les Stones et même parfois BB King, des artistes dont il s’inspire sans jamais essayer de les imiter pour donner naissance à des morceaux comme « Look At Me, Girl », « The Little Queen », « Love Is Like A Fish In The River », « Good Love Was On The Way » ou « Crazy Papa » qui panachent avec beaucoup de discernement l’acoustique et l’électrique.
En trois petits quarts d’heure, on fait le grand tour de la question en compagnie d’une partie du gratin de la scène blues hexagonale, des musiciens qui ont osé sortir un moment de leur zone de confort pour nous offrir un album aussi réussi qu’inattendu. Bravo !
Fred Delforge

HEY FOLKS CHRONIQUES

https://gaelleheyfolkschroniques.fa...

Matt Wanderscheid nous dévoile ici un premier album aussi savoureux qu’un bon verre de vin au coin du feu. Accompagné par une équipe déjà bien rodée, il nous emmène sur les routes nord-américaines pour un périple vallonné et enchanteur. Avec des sonorités chaudes et légèrement feutrées, cette galette est un doux mélange entre ballades country folk et des compositions plus blues aux riffs électrisants. Les guitares comme les claviers s’y répondent en totale osmose avec la force tranquille de la section rythmique pour soutenir le tout.
Matt a puisé son inspiration dans les cycles de la vie, la sienne et celles autour de lui. Ses textes parlent d’amour sous toutes ses formes, des maux aux mots, ceux qui font mal comme ceux qui galvanisent. Ce premier album se distingue par sa grande richesse musicale livrée avec humilité et authenticité.
Gaëlle Bonora

BLUES & CO #88

http://www.blues-n-co.org

On le connaissait comme sideman de luxe, ben oui dix ans à trimer avec les blonds houblonnés du nord ça forge, pis on l’a entendu avec le Big Matt Band bordelais nous offrir un melting pot de blues, de swamp, de country et de R&B millésimé 50/60, on l’a croisé derrière Maestro Johnny Nicholas et à chaque fois la gourmandise joyeuse et la bénaiserie délicate, vu que ce gars là est ce que je considère comme un putain de guitariste, genre mec qui caresse les cordes à la délicate, avec sensualité et débordant de feeling, de l’orfèvrerie. Sans compter que question chant, ben l’est au diapason et que sa voix s’avère chaleureuse et elle aussi, bourrée de sensibilité et particulièrement prenante.
On s’était aperçus, après son superbe album « Movin’ On » avec le Big Matt Band, que question compos l’était pas manchot et que ce gars là était un passionné des musiques d’Outre Atlantique, de pratiquement toutes et qu’il était capable de se les jouer sans un poil de jeu. Ben là il nous le prouve, s’il en était besoin, et pour cela se lance dans une nouvelle aventure entouré d’une grosse partie de la mousse des zicos de blues Français, à savoir Anthony Stelmaszack (guitare, mandoline, harmonica), Bastien Cabezon (batterie), Julien Bouyssou (orgue), Damien Daigneau (piano) et Grégoire Oboldouieff (basse), et nous met en boite onze petites perles (ben oui pas une à jeter, Nada), que des compos d’Americana Music, un régal de Folk, de Blues, de Rock, de R&B et de Country qui laissent au passage deviner les influences du jeune homme, ‘tention pas d’embrouille c’est de l’original pas du copiage total con, rien que du home made torché avec minutie et amour par ce phénomène de Matth.
La réalisation de l’album fleure bon la perfection, mais aussi l’authentique et le talent, rien d’étonnant vu l’aréopage qui s’y colle, nous offrant ainsi une sacrée tranche de bonheur, de sérénité et de surprises. Vous avez deviné, j’ai pas aimé, j’ai adoré !!!
Erick Diard

RADIO

FIP

National

En novembre et décembre 2019, les titres « All the leaves have fallen down », « Should be at home tonight », « The Little Queen », « Crazy Papa » et « How come you do this to me » sont régulièrement diffusés dans toute la France.

PRUN RADIO

Nantes, 92.0 FM

Le titre « Look At Me, Girl » est diffusé dans l’émission « Prun’ de Blues » du 3 décembre 2019. L’album y reçoit des critiques très favorables.
http://www.prun.net/emissions/prun-...

RADIO VAL D’OR – RVO

Poitou, 95.2 FM

Le 8 novembre 2019 , cette radio consacre l’intégralité de son émission « Du Blues mais pas que... » à l’album “Matt Wanderscheid”.
https://soundcloud.com/radio-val-do...

RADIO 666

Caen, 99.1 FM

Dans l’émission « Sweet Home Chicago » du 14 décembre 2019, « The Little Queen » est diffusé et l’album y est qualifié de « pépite ». Il est élu « Disque du mois » en janvier 2020.
http://podcast.radio666.com/shc/dow...

RADIO CAMPUS

Bordeaux, 88.1 FM

« Un album absolument merveilleux », « une voix pleine de sensibilité et d’émotion ». L’émission Stormy Monday du 21 octobre 2019 diffuse « The Waiting » et « Crazy Papa ».
https://www.mixcloud.com/olivier-fo...

CAVAN ONLINE RADIO

Irldande

Le titre « The Little Queen » est diffusé dans l’émission « Blues and Beyond » du 10 décembre 2019.
https://www.spreaker.com/user/cavan...

RADIO ARA

Luxembourg

Le titre « All The Leaves Have Fallen Down » est présenté le 3 janvier dans l’émission « Bordertown ».
http://podcast.ara.lu/blog/2020/01/...

SOM FACTORY

Allemagne

Cette radio diffuse le titre « Jezebel » le 1er novembre 2019.
https://www.som-factory.de